KikouBlog de Jerome_I - Août 2009
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Weekend à l'UTMB

Par Jerome_I - 30-08-2009 23:22:52 - 5 commentaires

Je viens de rentrer de vacances. Fin de mois d'Aout je profite pour aller faire un tour à Chamonix pour ce grand rendez vous du trail. J'ai de nombreuses photos et vidéos à mettre en ligne. Je ferais évoluer ce billet au fur et à mesure...

 

Ca commence le Mardi  25 Aout à 22h dans le centre de Chamonix pour le départ de la Petite Trotte à Léon avec 245km à parcourir par équipe de 3:

 

 


 

 

... A suivre

 

 

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un passe temps fou!

Par Jerome_I - 05-08-2009 10:04:40 - 3 commentaires

 

La montagne est belle, mais toujours un terrain de jeu dangereux. Silvio Mondinelli est allé sur tous les sommets de plus de 8000m sur la Terre. Il analyse la tragédie qui a couté la vie à trois alpinistes à la Meige.

"La montagne est pour les humbles et les modestes. Ceux qui y vont doivent toujours se rappeler qu'ils ont un cœur, un cerveau et quelqu'un qui les attend à la maison. Toujours!"

 

Articollo della Stampa - 05/08/2009 - RETROSCENA

 

Il re degli Ottomila
"Una distrazione folle"

 

Silvio Mondinelli commenta la catena di incidenti: «Spesso dimentichiamo di essere uomini: quando cale la tensione il rischio diventa altissimo»

enrico martinet

Aosta
 
Siamo uomini, uomini capisce? Non robot, neppure supereoi, ma ce ne dimentichiamo troppo spesso. E allora cala l’attenzione, la sicurezza viene dimenticata. Guardi che non giudico gli alpinisti, non l’ho mai fatto. Posso parlare in questo modo perché c’è stato un tempo in cui mi credevo un superman, poi mi sono congelato le mani e sono tornato con i piedi per terra». Silvio «Gnaro» Mondinelli allarga le braccia, fa un respiro, dice: «Di nuovo. Quest’anno non si fa che parlare di morti in montagna». «Gnaro» è arrivato in vetta a tutti gli Ottomila della Terra senza ossigeno, è guida alpina, campione di soccorso, da anni lo fa come finanziere ad Alagna, ai piedi del Monte Rosa. E quest’estate che ha colorato di sangue le Alpi ha sorpreso anche lui: una catena di incidenti che sembra senza fine. Nonostante gli appelli, nonostante gli inviti alla prudenza, al rispetto che si deve alla montagna.
 
 
 
 
Silvio Mondinelli è un esperto scalatore: «Ma anche a me è capitato di rischiare la vita, soprattutto per distrazione»
 
 
La sciagura della Meije è accaduta in uno dei punti meno difficili della parete Sud. «Gli incidenti - dice Mondinelli - accadono sovente per un calo di tensione. E’ successo anche a me, ma ho avuto fortuna. Uno degli errori che si fanno è di procedere in conserva quando si è legati, cioè muovendosi tutti insieme. Fare sicurezza così è davvero problematico: basta la scivolata nel vuoto di uno ed è finita per tutti perché si segue chi ha commesso l’errore». Le guide da qualche anno moltiplicano gli appelli agli appassionati, così il soccorso alpino. Ma i consigli sembrano non passare. La stragrande percentuale di coloro che vengono salvati o aiutati dall’elisoccorso prova un senso di sconfitta, quasi di vergogna. «Già - dice “Gnaro” -. E’ assurdo. Quando uno non ce la fa più chiami pure l’elicottero. La vergogna è un’altra cosa, riguarda la disonestà, non certo un incidente o le forze che vengono meno. Bisogna chiamare i soccorsi, non rischiare la pelle. Questa storia della vergogna è proprio legata a un modo assurdo di andare in montagna, quello della corsa contro il tempo, della performance, insomma. Follie».

Mondinelli, come altre guide alpine, racconta di alpinisti in lotta contro il cronometro. Record personali o basati sui tempi di percorrenza dei professionisti. La sicurezza passa in secondo piano, perfino la preparazione tecnica, basta quella fisica. «In parte è colpa anche vostra, dico dei mezzi d’informazione - sottolinea “Gnaro” -. Vengono sempre presentate imprese. Tutto viene esasperato, gridato. La montagna è bellissima, ma è anche pericolosa, non è il terreno adatto per misurare le proprie capacità fisiche». C’è tutto un mondo commerciale che ruota sul concetto delle prestazioni di alto livello. Perfino la moda, l’abbigliamento sportivo. Tutto offre energia supplementare, dai cerotti da infilare sotto l’orologio alle magliette. Mondinelli: «In queste innovazioni non c’è nulla di magico, è scienza. A tutti dico sempre di prendere il meglio, di scegliere quanto offre la tecnologia, ma di ricordarsi che siamo noi a salire sulla montagna non il cerotto o la maglietta che assorbe energia e ce la restituisce».

Il mondo va in fretta anche in montagna, scampoli di tempo da trascorrere sui sentieri o in parete in una pausa di lavoro più o meno lunga. E in più si deve fare i conti con una montagna cambiata. «Sì, è vero - dice Mondinelli -. In questi ultimi anno i ghiacciai hanno ceduto e la montagna è diventata più fragile, nuove insidie. Però ciò che temo di più è il cambio della mentalità. Pochi giorni fa mi è accaduto un fatto emblematico. Ero su un sentiero con un gruppo di ragazzi, facevo loro scuola. Percorso in luoghi impervi. Il nostro passo attento ha rallentato un escursionista. Così tanto che si è arrabbiato, me ne ha dette di tutti i colori perché lui doveva rientrare e non aveva tempo da perdere. Credo sia arrivato due minuti prima di noi al rifugio. Questo mi fa paura. La montagna è per gli umili e i modesti. E chi ci va deve sempre ricordarsi che ha un cuore, un cervello e qualcuno che lo aspetta a casa. Sempre».

 

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CHABERTON MARATHON 2009

Par Jerome_I - 02-08-2009 17:27:48 - 17 commentaires

 

CHABERTON MARATHON

 


La semaine dernière je mettais une vidéo avec le soleil, le bruit des cigales, le ciel bleu et plus de 30 degrés. Cette semaine chaleur et soleil, le sommeil ne vient pas, je me lève souvent la nuit pour boire, souvent transpirant...

Je parts ce matin à 5h30 pour rejoindre Clavière. Je vais aller encourager les coureurs du Chaberton Marathon. Trails de 22km ou 45km passant par le sommet du Chaberton à 3100m. Juste avant 7h, je commence à monter avec un photographe. Il va faire les photos des coureurs. On discute de la montagne, de son boulot, du trail. La monté est agréable au bord de la rivière sur un superbe single track. Dommage qu'ils ne fassent passer la course ici, c'est beaucoup plus beau et sauvage. Lorsque la pente augmente il me dit: "vas-y profite, on se voit en haut". Je vais faire la photo du photographe qui monte avec plus de 20kg de matériel sur le dos:


 


Il fait encore beau, la monté se passe bien, les secours se mettent en place pour la course.

 

 

 

 

 

 

 

En arrivant au col, il y a du vent et quelques gouttes. Les bénévoles sont en place.

 

 

 

 

Je vais mettre la gore-tex. Je serais au sommet avant les premiers. 

 

 

 

 

Puis je monte sur le parcours de la cours. Ça veut dire droit dans le pentu. D'habitude je monte en utilisant le chemin qui zigzag, mais le parcours prévoit une montée et une descente directe pour faire les 500 derniers mètres de dénivelé. Au sommet le ravitaillement est prêt, mais par radio, l'organisateur annonce que le passage au sommet est neutralisé. Les coureurs passent au col et descendent directement. L'orage se rapproche et il y a du vent. J'en profite pour faire quelques photos:


 

 

 

 

 

 



Je redescends très rapidement, j'ai peur de louper les premiers concurrents. Il pleut, la grêle tombe et me fouette le visage que je protège comme je peux de mon bras. Arrivé au col je mets la polaire, casquette, buff, gants et m'assois à l'abri de la crête. Il fait froid, je grelote tout comme les quelques organisateurs et personnes du publique qui ont eu le courage de monter à cette altitude. La grêle ne tombe plus mais il pleut fort. Je grelote. On attend toujours les premiers et finalement on les aperçoit. Le premier à 30m d'avance sur un duo de coureurs. Ils montent fort, et je n'en connais aucun. J'essaie de filmer mais je tremble.

 


 

Je vais descendre et les jambes refroidies font mal. Je vais me faire doubler par le quatrième que j'encourage. Les coureurs sont habillés léger, trop léger selon moi, sans matériel de sécurité.

En arrivant à la rivière je me suis un peu réchauffé, de gens m'encouragent et on discute un peu. Ils sont trempés eux aussi. Je vais faire quelques photos et un film.



 

Le passage de Marco Zarantonello (deuxième aux Porte di Pietra et tout le temps bien placé) arrive assez loin du trio de tète.

 

 

 

 

Puis le passage des deux premières qui finiront ensemble. Maud et Coco. Content de voire Corinne Favre recourir après ètre passée près de la mort au Népal à l'Automne:

 

 

 

 

Et la troisième seulement 100m dérrière:

 

 

 

 

Des randonneurs qui encouragent les coureurs, bravo à eux:

 

 

 

 

Quel temps!!!

 

 

 

 

 

 

 

En arrivant près de Clavière, Fabio Menino me double, je vais finir avec lui, il n'a pas arrêté après le Valdigne (86km pour lui) et est de nouveau en course ce weekend après avoir fait des courses tous les weekends de Juillet. Bravo pour la performance. La course de 45km est finalement neutralisée à Clavière et les coureurs ne feront pas non plus la montée au dessus de Montgenevre. Les deux courses feront 18km-19km.

J'attends les coureurs en espérant voir des tètes connues. Je rencontre Andréa (voir son blog: http://uomochecorre.blogspot.com/) coureur qui prend toujours des nombreuses photos en course.

Voici les photos d'Andréa:

http://picasaweb.google.com/uomochecorre2009/ChabertonMarathon

Alma arrive frigorifiée deuxième (place à verifier) de la "petite" course. Elle avait seulement un short et t-shirt. Elle mettra 30minutes pour se réchauffer contre un radiateur dans le centre d'information touristiques de Clavière.

Bravo aux coureurs car les conditions étaient vraiment extrêmes en plein mois d'août. Ça change du grand ciel bleu de 2008:

 

 

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